La tristesse dans toute mon ame s'est propagée
Quand tu es parti en croyant nourir aucune plaie
Mais il semble que tu as oublié
Celle qui n'a jamais cessé de t'aimer,
Mais maintenant c'est trop tard tu es parti,
En emportant mon amour qui pour toi n'a jamais faibli,
Tu as voulu tressaillir,
M'obliger a souffrir,
Alors que tout chez toi était d'une inégalable splendeur,
De tes yeux a tes pleurs,
Tu m'as obligée a vivre dans la peur,
Jusqu'a ce que je meure de mon malheur...